Après le Certificat d’Études Élémentaires, c’est au tour des candidats du Brevet d’étude du premier cycle d’affronter les premières épreuves ce lundi 16 juin 2025 sur toute l’étendue du territoire.
Au compte de la commune de Matoto ils sont au total 23944 dont plus de 12 000 filles qui affrontent la première matière qui est la rédaction.
Le directeur Communal de l’Éducation de Matoto a lors du lancement au groupe scolaire Ibrahima Kourouma situé dans la commune de Tombolia rappelé les consignes.
« Au compte de la direction communal, la direction de Matoto se présente comme suit.On a présenté un total de 23.944 candidats, dont 12.168 filles, réparties dans 49 centres, dont deux en enseignement franco-arabe
Les mesures sont les mêmes, mais cette année, les mesures sont davantage renforcées.Vous savez, depuis l’avènement du CNRD au pouvoir, notre système éducatif est en train d’avancer de façon satisfaisante.L’avancement est dû non seulement à l’accompagnement du monsieur le président de la République, à travers le département du ministère de l’Enseignement Pré-universitaire mais aussi à l’aide de tous les acteurs, c’est-à-dire les enseignantsLes enseignants sont les plus importants.
Les chefs d’enseignement, les salariés de passage, tout le monde, tous les acteurs, chacun vraiment s’implique pour que notre pays avance Parce que vous savez, sans risque de me tromper, notre pays n’avancera jamais sans son capital humain. Et le capital humain, c’est le système éducatif. Vous savez, on n’organise pas les examens pour faire échouer.C’est juste connaître qui a travaillé pendant l’année scolaire et qui ne l’a pas fait.Tous ceux qui mériteront leur admission seront proclamés admis.Et tous ceux, évidemment, qui ne feront rien vont redoubler la classe » a-t-il conclu
Djiguiba Sacko superviseur national au compte de la commune de Matoto précise
« Les consignes sont très claires, très précises, que lesuns et les autres connaissent depuis avant le lancement officiel des examens.Parce que vous savez, en principe, un examen c’est une évaluation, et une évaluation qui doitse passer dans de bonnes conditions et sans fraude. Donc, il est question que les élèvesessaient de venir à l’école pour faire cette évaluation, conformément aux différents textes réalisantle fonctionnement des examens, en se débarrassant de tous les documents, de tous lesappareils téléphoniques, en adoptant une attitude correcte vis-à-vis des surveillants. Et auxsurveillants également, de se mettre à leur place, faire en sorte que la surveillance se passebien, sans problème, et empêcher les enfants surtout à faire de la fraude.
Donc, je pense que ce sont des consignes majeures pour les uns et pour les autres » a-t-il laissé entendre.
Ahmadou Djogo pour Gbaikandjamana.org
